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lundi 10 mars 2008

New-York - Février 2008 / Mardi 26 et CSO au Carnegie Hall

Au lendemain de cette soirée au Metropolitan, après laquelle on s'est couché vers 1h30 ou 2h environ, et bien c'était ambiance grasse matinée ! Ben, oui, faut être en forme pour continuer le tourisme ! Du coup, ben, le mardi, nous n'avons pas fait grand chose, surtout qu'on avait encore une soirée en perspective, au Carnegie Hall, au coeur de New-York au Sud de Central Park.

Du coup, après s'être arrêté dans une petite boutique pour ramener deux-trois bricoles de touriste, on est simplement passé voir le Flat Iron Building, ce fameux bâtiment en forme de fer à repasser. Sur les photos, on s'y fait, mais finalement, en réalité, c'est quand-même assez impressionnant !

Il n'a pas vraiment fait beau, il pleuvait, même, mais cela nous a permis de prendre des photos assez stylées de l'Empire State !

Puis, c'était direction le Carnegie Hall justement, pour un concert du Chicago Symphony Orchestra, placé sous la direction de Pierre Boulez. A presque 83 ans, je l'ai trouvé vraiment en forme, et très énergique !

Au programme de leur seconde soirée au Carnegie Hall (ils y étaient la veille également), Quatre Dédicaces de Berio, Les nuits d'été de Berlioz, puis Pétrouchka de Stravinsky. Avant le début du concert, on passe dans une salle où se trouve une petite exposition sur l'histoire du Carnegie Hall, et où l'on peut notamment voir une des clarinettes de Benny Goodman.

J'étais pas complètement en forme, malheureusement, pour admirer au mieux le concert. Cela dit, tout d'abord, je n'ai pas grand chose à dire à propos de la première oeuvre. Du Berio, quoi, donc des effets plus que des mélodies, des sons plus que des lignes, je n'ai pas accroché. Mais en même temps, ce n'est pas ça qui m'a fait venir !

On a ensuite eu Susan Graham dans Berlioz, qu'elle chantait quelques jours auparavant avec l'Orchestre de Paris. Bien que je ne sois pas grand amateur de ces oeuvres lyriques avec orchestre, j'ai bien aimé son interprétation, déjà parce qu'on l'entendait bien, au-delà de l'orchestre, et ensuite parce que cela permettait de bien comprendre ce qu'elle racontait (même si l'on avait les paroles - en français - dans le programme). Elle est d'après le programme experte en musique française, et d'ailleurs Commandeur dans l'Ordre des Arts et des Lettres. Bref, elle s'y connaît, le chef aussi (forcément...), et cela se ressent !

Enfin, l'oeuvre de Stravinsky, que je n'avais pas entendu depuis un bon moment (et sans doute par extrait, puisque cela doit dater d'il y a quelques années, en cours de FM !), et c'est avec grand plaisir que j'ai redécouvert la festivité et la grande énergie de Petrouchka. On notera les magnifiques solos de flûte, dont je ne me souvenais absolument pas (si par hasard je l'avais déjà entendu...). Mais superbement interprétés par le soliste Mathieu Dufour, dont m'avait parlé mon prof Richard Malblanc. Et effectivement, je le répète, c'était admirable... !

2 commentaires:

  1. Tiens, merci pour le lien!

    En effet, il y a de quoi saliver: une clarinette de B. Goodman...Fichtre, fichtre..

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  2. Il y avait également au Met museum la clarinette qu'il aurait utilisé pour son dernier enregistrement... pas mal non plus, hmm ?

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